Un mois de canicule durant juillet et l'herbe se raréfie bien vite. Contraste saisissant avec la surabondance de fin juin.
La prairie de fauche offre un superbe regain dont il faut profiter avant qu'il soit grillé à son tour.
Les Lutins ont donc basculé sur cet éden. Progressivement, pour éviter que les panses "n'explosent".
Les Ouessant suivent l'ombre. Question de confort pour brouter par cette chaleur mais également parce que l'herbe y demeure plus verte.
Le regain grille à son tour un peu plus chaque jour. Heureusement, la taille des surfaces permet de compenser la régression des herbages sous le soleil.
Et puis les orages prévus vont peut-être relancer un peu la végétation. (? ...)