Machin, agneau de l'année, dont la toison d'environ sept mois révèle sa structure, se distingue par sa chape de laine sur l'encolure et le garrot.
Voilà un caractère "qui se balade" selon les accouplements et qui concerne une lignée chez qui on retrouve cette tendance à l'abondance de toison sur ces parties du corps (sans compter une toison globalement à longues mèches).
Héritage d'un bélier souche, Ocelot, une des briques de base du troupeau des Lutins, cette caractéristique se retrouve chez divers descendants de ce bélier: Promesse, Golas, Dame Hersant,...
On peut aimer ou pas. Personnellement, je ne suis pas un amateur de laine, mais sur ce point j' apprécie la diversité, cette diversité qu'on peut encore rencontrer chez des ovins correspondant encore (heureusement!) plus à un type qu' à une race standardisée. Donc, chez les Lutins, on s'attache également à la conservation de la diversité de l'allure des toisons, ne cherchant rien à supprimer ou à l'inverse favoriser.
Caractère associé à ce type de toison, un important recouvrement de la queue très dense en laine également.